<< Les dernières actualités de Besançon
Poignardé à Emmaüs à Vesoul
Un Géorgien de 32 ans a été hospitalisé mercredi soir à Besançon dans un état grave après avoir reçu deux coups de couteau.
La victime et un de ses amis, Géorgien comme lui, passaient la soirée chez un Ukrainien logeant à Emmaüs à Vesoul. Une dispute sur fond de vodka a éclaté. L'hôte, très alcoolisé (2,30 g d'alcool par litre de sang) a alors saisi un couteau, et a frappé l'un des Géorgiens à la poitrine, puis au bras.
Gravement blessé, celui-ci a été déposé devant les urgences de l'hôpital de Vesoul par l'autre Géorgien. Ce dernier est aussitôt reparti, sans même accompagner son ami jusqu'à l'entrée du CHU.
Les médecins vésuliens soupçonnant une perforation des poumons, ils ont orienté le blessé vers l'hôpital de Besançon.
Malgré sa faiblesse et son manque de maîtrise de la langue française, l'homme a pu relater son agression aux policiers, qui se sont immédiatement rendus à Emmaüs. Ils y ont interpellé l'Ukrainien, son arme ayant été retrouvée dans sa chambre.
L'homme a été placé en garde à vue, et comparait aujourd'hui pour violences avec arme.
R. Hingray
La victime et un de ses amis, Géorgien comme lui, passaient la soirée chez un Ukrainien logeant à Emmaüs à Vesoul. Une dispute sur fond de vodka a éclaté. L'hôte, très alcoolisé (2,30 g d'alcool par litre de sang) a alors saisi un couteau, et a frappé l'un des Géorgiens à la poitrine, puis au bras.
Gravement blessé, celui-ci a été déposé devant les urgences de l'hôpital de Vesoul par l'autre Géorgien. Ce dernier est aussitôt reparti, sans même accompagner son ami jusqu'à l'entrée du CHU.
Les médecins vésuliens soupçonnant une perforation des poumons, ils ont orienté le blessé vers l'hôpital de Besançon.
Malgré sa faiblesse et son manque de maîtrise de la langue française, l'homme a pu relater son agression aux policiers, qui se sont immédiatement rendus à Emmaüs. Ils y ont interpellé l'Ukrainien, son arme ayant été retrouvée dans sa chambre.
L'homme a été placé en garde à vue, et comparait aujourd'hui pour violences avec arme.
R. Hingray
Publié le lundi 25 juillet 2011 à 15h50