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A 21 ans, il est le plus jeune candidat à la présidentielle et est originaire de Besançon !
Parmi les candidats déclarés à la présidentielle de 2017, il y en a un qui commence à faire parler de lui : Ismaël Boudjekada, âgé seulement de 21 ans.
Bien qu'il vive désormais en région parisienne, les Bisontins se souviennent de sa tentative ratée pour conquérir la mairie de Besançon (25) en 2014.
Avec seulement 0,73 % des voix, il avait néanmoins réussi à se faire un nom ce qui lui a permis ensuite de partir à l'assaut des Européennes (0,02%) et du département du Doubs en 2015 (0,53%).
Pour l'élection présidentielle, Ismaël compte sur un programme fort et économiquement béton pour conquérir le cœur des maires qui pourraient lui apporter les 500 parrainages dont il aura besoin pour aller jusqu'au premier tour (et peut-être au deuxième tour).
Voici, rapidement, les mesures-chocs proposées par Ismaël.
L'objectif est de donner environ 1000€ à tout le monde, travailleur ou non. Là ou l'on sent un gros travail de mathématique derrière, c'est que la formule suivante serait appliquée :
Afin que les salaires ne restent pas au plus bas, il faudra donc augmenter le SMIC de 800€ à 900€ pour que les gens aient envie de travailler.
Pour financer le système, Ismaël compte mettre en place une taxe de 10 % sur les transactions financières.
Le concept est simple : on ne reconnaît que 20 % de la dette que l'on remboursera plus tard. Les 80 % restants, on fait comme s'ils n'existaient pas et on envoie balader les créanciers.
Au passage, on efface aussi la dette des pays africains.
Simple et efficace !
L'idée est de réexpliquer ce que sont la laïcité et la loi de 1905 sur la séparation de l'Église et de l'État.
Bon ensuite, on n'a pas trop compris, mais en gros l'idée est de transformer la France en pays de Bisounours.
Mais tout cela est très beau et l'on sent beaucoup de réflexion autour de ce projet.
Cependant, le jeune Isamël semble oublier qu'il a été sanctionné, le 19 novembre 2015, à trois ans d'inéligibilité.
Même s'il a demandé un réexamen de son dossier, tout porte à croire que cela risque d'être compliqué de mener son combat politique jusqu'au bout.
Bien qu'il vive désormais en région parisienne, les Bisontins se souviennent de sa tentative ratée pour conquérir la mairie de Besançon (25) en 2014.
Avec seulement 0,73 % des voix, il avait néanmoins réussi à se faire un nom ce qui lui a permis ensuite de partir à l'assaut des Européennes (0,02%) et du département du Doubs en 2015 (0,53%).
Pour l'élection présidentielle, Ismaël compte sur un programme fort et économiquement béton pour conquérir le cœur des maires qui pourraient lui apporter les 500 parrainages dont il aura besoin pour aller jusqu'au premier tour (et peut-être au deuxième tour).
Voici, rapidement, les mesures-chocs proposées par Ismaël.
L'instauration d'un revenu universel
L'objectif est de donner environ 1000€ à tout le monde, travailleur ou non. Là ou l'on sent un gros travail de mathématique derrière, c'est que la formule suivante serait appliquée :
- Si je ne travaille pas : je touche 1000€ de l'Etat.
- Si je travaille mais que je touche 1200€, je touche 1000€ de l'État et 200€ de mon employeur. Donc je reste à 1200€.
Afin que les salaires ne restent pas au plus bas, il faudra donc augmenter le SMIC de 800€ à 900€ pour que les gens aient envie de travailler.
Pour financer le système, Ismaël compte mettre en place une taxe de 10 % sur les transactions financières.
La restructuration de la dette
Le concept est simple : on ne reconnaît que 20 % de la dette que l'on remboursera plus tard. Les 80 % restants, on fait comme s'ils n'existaient pas et on envoie balader les créanciers.
Au passage, on efface aussi la dette des pays africains.
Simple et efficace !
Le vivre ensemble
L'idée est de réexpliquer ce que sont la laïcité et la loi de 1905 sur la séparation de l'Église et de l'État.
Bon ensuite, on n'a pas trop compris, mais en gros l'idée est de transformer la France en pays de Bisounours.
Il n'y a pas comme un problème ?
Mais tout cela est très beau et l'on sent beaucoup de réflexion autour de ce projet.
Cependant, le jeune Isamël semble oublier qu'il a été sanctionné, le 19 novembre 2015, à trois ans d'inéligibilité.
Même s'il a demandé un réexamen de son dossier, tout porte à croire que cela risque d'être compliqué de mener son combat politique jusqu'au bout.
Publié le mercredi 26 octobre 2016 à 10h26