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Encore une banque taguée à Montbéliard
Après deux établissements bancaires à Besançon il y a 15 jours, c'est au tour de la Société Générale rue piétonne à Montbéliard de se voir ornée de graffitis hostiles à cette profession. Ici encore les suspects sont légions, et les récentes activités de Frédéric Oudéa, directeur général et de Daniel Bouton, président de la banque ainsi que le passé de plus en plus judiciarisé du groupe peuvent difficilement contrebalancer les propos inscrits sur la porte d'entrée : "Voleurs".
Petit rappel historique et judiciaire :
Janvier 2008 : fraude sur le marché des contrats à terme qui coûte 4,5 milliards à la banque (Affaire Kerviel).
Février 2008 : jugement dans l’Affaire du Sentier, vaste cavalerie financière où la banque était soupçonnée de blanchiment d'argent, un délit qui se traduit en langage judiciaro-financier par "mise en lumière de graves défaillances dans les contrôles internes de la Banque " et la relaxe pour tous.
Mars 2009 : malgré des pertes records, Frédéric Oudéa, directeur général et Daniel Bouton, président de la banque, se font attribuer respectivement 150.000 et 70.000 titres de stock-options, au prix le plus bas du cours de l'action (24€) impliquant des bénéfices d'autant plus astronomiques à la revente que le cours était au plus bas.
Avril 2009 : 5 milliards de pertes subi par SGAM-AI une filiale de gestion d'actifs en raison de prises de risques inconsidérés.
Encore une victime bien difficile à soutenir en somme.
Petit rappel historique et judiciaire :
Janvier 2008 : fraude sur le marché des contrats à terme qui coûte 4,5 milliards à la banque (Affaire Kerviel).
Février 2008 : jugement dans l’Affaire du Sentier, vaste cavalerie financière où la banque était soupçonnée de blanchiment d'argent, un délit qui se traduit en langage judiciaro-financier par "mise en lumière de graves défaillances dans les contrôles internes de la Banque " et la relaxe pour tous.
Mars 2009 : malgré des pertes records, Frédéric Oudéa, directeur général et Daniel Bouton, président de la banque, se font attribuer respectivement 150.000 et 70.000 titres de stock-options, au prix le plus bas du cours de l'action (24€) impliquant des bénéfices d'autant plus astronomiques à la revente que le cours était au plus bas.
Avril 2009 : 5 milliards de pertes subi par SGAM-AI une filiale de gestion d'actifs en raison de prises de risques inconsidérés.
Encore une victime bien difficile à soutenir en somme.
Publié le mardi 5 mai 2009 à 12h05